&& Lennie Juliette Wolfman | Done.

" Madame Wolfman, voici votre fille, mademoiselle Lennie Juliette Wolfman. "
J'avais exactement deux ans et 9 mois lorsqu'ils sont venus me chercher. Malgré mon jeune âge, je me rappelle de cette journée ensoleillée comme si c'était hier que je m'étais faits adopter. Monsieur et madame Wolfman étaient à présent mes parents. Certes, ils n'étaient pas mes parents par liens de sang mais ce serait désormais eux qui s'occuperait de moi, qui me chouchouterait, qui me cajolerait, qui m'aimerait. Ma vrais maman et mon vrais papa, eux, ne sont plus là. Ils sont morts. Comment? Dans une accident de voiture. Ils revenaient d'un souper et roulait sur l'autoroute. Puis, mon papa a malheureusement exécuté un virage à droite et paf, ils sont rentrés dans un gros gros gros camions de déménagement. Apparemment qu'ils sont morts sur le coup, sans douleurs, ni souffrance. Pendant que leurs morts arrivait à grand pas, moi, petit bébé d'à peine un an, dormais paisiblement dans l'énorme lit de grand-maman et de grand-papa. Je n'est pas eu le temps de les connaître mais je me rappelle encore très clairement le magnifique visage de ma mère. J'étais tellement curieuse par rapport à ma nouvelle vie que j'allais très bientôt vivre que maintenant, les deux plus beaux visages de la terre étaient celui des mes nouveaux parents. Comment se passerait ma nouvelle vie? Comment ils m'aimeraient? Où allais-je dormir? Où est-ce que je mangerais? Notre maison était-elle loin d'ici? Un tas de question trottait sans cesse dans ma petite tête d'enfant. La différence, c'est que personne ne pouvait me répondre.

- Mademoiselle Wolfman?
- Oui madame?
- Madame Anna Wolfman voudrait vous voir dans sa chambre.
- D'accord madame. J'y vais de ce pas.
Depuis mon arrivée dans l'immense maison dans laquelle j'habitais désormais, ma vie avait changée du tout au tout. J'avais les vêtements de mes rêves. Si je désirais quelques choses, je l'avais sur-le-champs de la part des nombreux travaillants de ma demeure. J'allais à une école prestigieuse où il n'y avait que des gosses de riches et des enfants de président. Mais pourtant, j'Avais beaux avoir tout ce que je voulais, manger de délicieux repas, avoir les vêtements derniers cris, je restais malgré tout malheureuse. En effet, on me privait de ma vie de jeune femme. Alors âgée de 18 ans, je voulais bien sûr avoir des vrais amis, qu'on ne m'aime pas que parce que j'étais riche, mais bien pour ce que j'étais réellement. Même que je ne pouvais pas manger un bon hamburger, au cas ou je grossissais d'une livre. Certes, côté biens personnel, j'avais tout. Mais par rapport à ma liberté, je n'avais plus rien. Sagement, je me leva de la chaise de la cuisine, replaça légèrement ma jupe et partit en direction de la chambere royale de ma mère adoptive. Cours de bonnes manière, merci. Je tourna vers la droite la pognée d'or et pénétra enfin dans la salle pleine de haute couture.
- Vous vouliez me voir mère?
- Oui, en effet. Il se trouve que j'ai enfin reçu la lettre de l'université à laquelle je voulais que vous alliez.
- Oh.. Je vois. Et puis? Est-ce de bonne nouvelle?
- Eh oui. Vous avez été admise à la célèbre université de Chapel Hill.
- Mais c'est excellent madame! Quans est-ce que je pars?
- Lundi prochain.
- Bien.
Un sourire christalin se déssina sur mes lèvres légèrement rosées par maon glosse. Très bietôt, j'aurais enfin le droit de faire ce que je veux. Je pourrai enfin boire de l'alcool à flot et consommer toutes sortes de substances interdites dans le pays. Très très bientôt, je en serai plus sous les ordre de ma mère. J'aurai de vrais amis et avec l'argent qu'ils me donneront , je ferai tout ce que je veux. Attention, la nouvelle va faire des ravages, je vous en conjure.

Comme vous le savez, une vraie famille, je n'en possède pas vraiment. Ma mère ainsi que mon père biologique sont décédés et j'ai, à cause des mes parents adoptifs, perdus de vue tout le reste de ma vraie famille. Ils m'ont toujours empêcher d'essayer de les contacter. Apparemment qu'ils n'avaient pas l'adresse et que de toute façon, ce n'était pas des gens avec qui je devais parler. Un chagrin immense occupait mon cœur à chaque fois qu'il me le répétait. Je ne pouvais même pas parler à ma grand-mère et je ne me rappelais plus de rien par rapport à eux. Ils m'ont également enlevé tout ce que je possédais d'eux. Photos, cadeaux, peluches, tout ce retrouve à présent dans le dépotoir de la ville, six pieds sous terre. Désormais, ma famille, ce sont le grand entourage des Wolfman.

Apparemment, j'ai le corps idéal. La grandeur idéal, une poitrine quelques peu maigre mais tout de même idéal. De magnifique cheveux naturellement blond platine, de la part de mon père biologique et de beaux grand yeux bleus comme l'océan pacifique. De beaux grands yeux qui fait rêver et qui reflète parfaitement les sentiment que je ressens en dedans de moi. De belles longues jambes frêle, blanche et douce comme un drap de soie que l'on recouvrait à l'époque sur mon lit dans ma demeure. Des traits faciales plus que jolis. Un maquilla sans cesse impeccable, une style parfaitement correcte, une silhouette plus que parfaite. Une personne, ma personne.

J'ai toujours faits bonne impression. Jamais, à ce que je me souvienne, quelqu'un me détestait parce que j'étais légèrement trop garce ou alors parce que je me prenais trop haute dans la société. Je suis très propre et organisée. Dans ma chambre par exemple, vous ne verrez que très rarement un bas salle traînée sur le plancher de bois ou alors, une culotte oublié sous le lit royal. De plus, je suis extrêmement respectueuse. Pour moi, il est primordial de respecter les gens. Peu importe leur importance, tous méritent d'être égal par rapport au autres. Ce respect ainsi que cette perfectionnisme quelques peu prononcé nous vient tout droit de la maison familiale. En effet, ils m'ont tout appris. Ils m'ont exactement tous appris, de a à z les bonnes manières ainsi que les nombreuses façon de parler correctement aux gens. Par contre, le seul petits, tout petit défaut que l'on pourrait me reprocher,serait que je suis un peu jalouse et timide. Quoi que timide ne compte pas vraiment pour un défaut, ma jalousie, elle, est persistante. Malgré les très très très rares fois où je suis tombé amoureuse, je devenais, à chaque parcelles de ma peau blanche et laiteuse, rouge comme une pivoine quand une gentille demoiselle s'approchait un peu trop du garçon en question. Certes, je ne dirais jamais que je suis parfaite. Mais, la perfection, je l'a suis de très très prêt.

Adieu le passé, bonjour le présent! Maintenant, je vivrai ma vie au jour le jour et tant pis pour les autres. L'alcool coulera à flot et l'héroïne pourrai pénétrer à volonté dans mes veines. Je ne ferai plus attention à mon apparence et je peut promettre que si vous touchez à mon mec, vous recevrai une belle et grosse claque dans la figure. Certes, j'ai peut-être reçu des cours de bonnes manières mais j'ai aussi appris à me battre.

Je n'ai pas de vies sociale. Les seuls amis ou plutôt, connaissances, que j'avais dans mon mince répertoire, sont rester dans ma ville natal. Maintenant rendu à cette université, je fais le point et je recommence à zéro. Maintenant arrivée à cette université, je refais ma vie et vie au jours le jour. Maintenant dans cette université, je suis quelqu'un de nouveaux, pas une fille de riche, ni la fille la plus populaire d'Hambourg. Une fille normal qui a des parents normal qui ne sont pas mort.