Eileen Gray__100% finish !

LSD, marijuana, cocaine, héroine, extasie, à 14 ans j'avais déjà tout essayer. Me détruire, c'était ma seule raison de vivre. Comment ça je ne suis pas logique ? Immaginez justement un monde où la logique n'a pas sa place, où seul le désir est maître. Je ne vous parle pas du rêve, non loin de là, je vous parle d'une réalité fictive. Dès 10 ans, j'avais déjà tout décrocher. Si vous voulez, je n'ai jamais été au maximum de mes capacités. En cours, au mieux je fais de l'escalade sur le mont everest, au pire je pique un plongeon dans le vide. Bref, mes voyages sont toujours plus énormes les uns que les autres. Mon problème ? je suis sans cesse à la recherche de l'adrénaline. Les sensations fortes, ça à toujours été mon truc. Me droguer n'est pas devenu qu'un vulgaire passe temps, mais une véritable passion. Un désir inégalable et incontrolable.
Comment en suis- je arrivais là ? Je ne pourrais pas vous dire exactement, je crois que cela remonte à mes cinq ans, lorsque le médecin avait détecté chez moi une maladie. Bipolaire. avait-il dit d'un ton monotone. Je me souviens avoir tourné la tête vers ma mère, qui n'avait eu aucune réaction. En réalité, elle était sous le choc. Je compris bien plus tard ce que cela pouvait signifier. J'étais à présent condamné à passé ma vie à viré du blanc au noir. Plus le temps passé, plus je me sentais plonger dans le néant, ne savant plus ou donner de la tête. La rencontre avec la drogue a été pour moi un soulagement. Pour la première fois de toute ma vie, j'avais l'impression d'être comme tout le monde. Je ressentais les mêmes effets et les mêmes sensations. Mais très vite, quand les effets s'estompaient, l'humeur retombait et il devenait quasiment impossible d'entretenir une relation dite "normal " avec qui que ce soit. Bref, ma vie est peuplée de rebondissements, de déceptions, de tentatives de sucuide, de bonheurs incensés et de voyages. Je suis comme tout le monde en apparence et pourtant, je vis ma vie en accéléré, je ressens plus de sensations à la fois que n'importe qu'elle individu normalement constitué. Du fait de mon trouble, je suis rarement inactive, la musique est pour ainsi dire, la seule chose qui parvient à me calmer sur tout les points. D'ailleurs je me suis découvert bonne chanteuse et je recherche activement un groupe en ce moment même. La plupart de mes proches ne me soutiennent pas dans mes études ou dans mes passions, car plus personne ne mise d'espoir en moi depuis longtemps. Je suis pour eux, un cas desespéré, une zombie condamnée dans un cercle vicieux et omniprésent. Et à vrai dire, ce n'est pas loin de la vérité. Comme j'aime dire, les gens nous laisse tomber quand on a le plus besoin d'eux. C'est pour cela que je n'arrive plus à vivre en société. Asociable, est sans doute l'adjectif qui me convient le mieux. Les hommes ne s'interessent à moi que pour assouvir leur besoin naturel, les femmes ne me fréquentent que lorsque que je suis au 7éme ciel, dans le même univers que le leur. Je suis abérrée par la société actuelle. Dès que tu sembles t'écarter du droit chemin, tout le monde te regarde comme si tu venais tout droit de la planête mars. Aujourd'hui, les gens ne jurent plus que par l'argent, ils sont superficiels et présentent un incroyable cliché. Si tu ne rentres pas dans la section "normal" , tu es condamné à vie dans le rejet et la désolation.

Ma mère s'appelait Candice. Mes souvenirs, vis à vis d'elle, sont lointains et sélectionnés. Je savais au fond de moi qu'elle me portait un amour particulierement sincère. C'est pourquoi sa mort fut un élément déclencheur. Bien que je n'avais aucune notion de la perte d'un proche à cette époque, Je ressentis immédiatement ce vide. Et il s'amplifia au fil des années. Mon trouble semblait s'agraver, la période suivant sa mort fut la plus douloureuse pour moi. Lorsque j'arrivais à ma phase dépressive, les effets ressentis se multiplières par deux. J'étais devenu incontrolable, et cette phase dura beaucoup plus longtemps que d'habitude. On a dû m'interner un certain temps, le temps que je revienne à ma phase "normale". Quant à mon père, cet homme faisait partie de ces salauds, qui avait pris lâchement la fuite dès qu'il appris que Candice attendait un enfant de lui. Etant classé "anormal" sur mon livret de naissance, aucune famille d'acceuil ne voulut m'acceuillir. Par conséquent, le reste de mon enfance se déroula dans un centre d'adoption. Par miracle, mon admission à l'université fut une reussite. On ne tenu pour une fois compte que de mon dossier et non de mes problèmes de santé. Peut être une vie plus stable m'attendait là bas. Ou bien au contraire, je n'étais pas au bout de mes surprises...

Je ne dispose pas d'un physique particulièrement attirant selon moi, mais je possède néanmoins des formes avantageuses. J'ai hérité des yeux bleus de ma mère et de la grande taille de mon père sans aucun doute. Ma mère ne dépassait pas les 1mètre60. Mes traits sont fins, mon visage dévoile une pâleur peu commune qui s'harmonise parfaitement avec la couleur de mes cheveux. Questions vetements, j'essaye de soigner mon apparence tout en restant la plus naturelle possible. Je suis le plus souvent, vétue d'un slim noir ou rouge, de bottine noire et d'une veste en cuire ressortit tout droit des années punk. Ma garde robe contient en majorité des chaussures, de couleurs diverses, qui peuvent varier du noir au doré. J'aime les styles des années 70 ou 80 et je suis d'ailleurs une grande amatrice de ces années. [ arrf I hate the physical attraction X) ]

Simpatique # Energique # Intelligente # Fétarde # Joyeuse # Séductrice # Sûr d'elle # Charismatique.
Colérique # Asociable # Suceptible # Dépressive # Agressive # Manque de confiance en elle.
[ Etant bipolaire, sa personalité n'est pas facilement définissable. Elle a comme une double personalité, qui change selon ces phases. ]

C'est un fait, Je ne suis pas populaire. Il m' arrive de fréquenter des personnes réguliérement. Mais soit elles sont également atteinte d'une maladie similaire, soit ce sont des personnes très tolérantes, soit ce sont mes partenaires des raves party. Et dans ces cas là, je peux fréquenter même les plus populaires, car je suis très connu dans ce monde là. Et sous les effets, je suis incroyablement sociable. Mon orientation sexuelle ? franchement, je n'en ai aucune idée. Mais je ne manque pas d'expérience à ce niveau. On me qualifierait de bisexuelle mais ce n'est pas tout à fais exact. Je n'ai pas de réelle attirance envers les filles, même si je suis déjà sorti avec des partenaires de sexe féminin lors de fêtes. Mais ça n'a jamais duré plus d'un soir. Je rêve d'une relation sérieuse et stable, mais dans mon cas, c'est difficile.